Faire table rase du passé et redorer son blason, c’est l’objectif recherché par le gouvernement gabonais à travers la signature de ce contrat de performances. Décriée de plus en plus ces derniers temps, en raison de la chute graduelle de la qualité de son service, le CTRI souhaite que la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), redresse la barre. Il faut maintenant croiser les doigts et voir si la fréquence des délestage va baisser. 

'' la SEEG toute entière est engagée pour apporter des réponses aux populations gabonaises. Mais évidemment avec le concours du ministère et avec le président qui n'a pas cessé de nous soutenir pour que nous soyons plus efficaces''.

a déclaré Joël Lehman Sandoungout, le directeur général de la SEEG. 

Un an pour prouver que ce contrat en valait la peine

La SEEG a désormais un an pour être à la hauteur des objectifs clairs et précis. Par la signature de ce contrat d'objectifs et de performances avec le gouvernement, la SEEG est face à une obligation de résultats. Elle doit mettre fin à une desserte quelconque en eau potable et en énergie électrique. Cela coïncider avec la fin des interminables délestages. 

“Le présent contrat d'objectifs et de performances est défini pour une période d'un an assorti d'objectifs opérationnels. Tous ensemble oeuvrons avec passion pour une SEEG rénovée, une SEEG revitalisée et une SEEG restaurée ''.

a pour sa part précisé Jeannot Kalima,  le ministre de l’Energie et des ressources hydrauliques.

 

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